Panteridad: Vivir en un cuerpo dañado

Auteurs

  • Teresa de Lauretis University of California, Santa Cruz (USA)

DOI :

https://doi.org/10.7203/eutopias.0.19766

Mots-clés :

Traum, pulsion de mort, psychoanalyse, films d’horreur, films série B, La Féline, Val Lewton, asynchronicité, publique spectateur, corps endommagé.

Résumé

Produit par le pionnier de films d’horreur Val Lewton et repris par les théoriciens du cinéma féministe dans les années 80, La Féline (Tourneur, 1942) est lu par l’auteure comme un texte qui assure la représentation de la notion freudienne de de la pulsion de mort comme « Grenzbegriff» crucial dans la vie psychique. L’attention à l’intéressante et novatrice utilisation du son asynchrone dans le film, ainsi qu’une analyse du matériel diégétique et extra-diégétique, permet une lecture qui pointe vers les complexes liens entre le corps et le désir, l’altérité et l’identité humaine.

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Publiée

2012-12-27

Comment citer

Lauretis, T. de. (2012). Panteridad: Vivir en un cuerpo dañado. EU-topías. Revue d’interculturalité, De Communication Et d’études européennes, 4, 9–18. https://doi.org/10.7203/eutopias.0.19766
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Numéro

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