La connexió entre Benali i la Vall de Càrcer, una altra possibilitat d’ús complementari del territori al segle XVI
DOI :
https://doi.org/10.7203/CGUV.108-9.23730Résumé
Durant l’Edat Moderna es va consolidar una agricultura intensiva, d’alt potencial demogràfic i
elevat diferencial productiu en les planes litorals valencianes, de manera que existia un cert desequilibri
entre les terres de cultiu i de past, que plantejava com a resposta el repte de la complementarietat
entre territoris a escala regional. Indicis d’aquesta acció complementària als territoris sembla que es va
produir entre la Serra d’Énguera i algunes hortes de la Ribera, incloses en el terme de Xàtiva, cas de la
Vall Farta o Vall de Càrcer. En aquest treball s’explica un cas, a partir de la documentació conservada
en l’Arxiu Històric Nacional, que suggereix la pràctica de la complementarietat entre territoris a escala
regional en València durant l’Edat Moderna, en concret, el mantingut entre àrees amb vocació ramadera,
la muntanya d’Énguera, i d’agricultura intensiva de regadiu, la Vall de Càrcer, a la Ribera del Xúquer.
El fet que des de Càrcer i de Sumacàrcer es fera un ús pecuari de la Serra d’Énguera, s’entén tant pel
progrés agrari i demogràfic del Cinc-cents, que va empentar la ramaderia de les hortes a l’ermàs, com
per la continuïtat d’un model anterior, encara que fortament condicionat i degradat, d’ús del territori,
degut a la permanència de població morisca.
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