‘Ce qui se passe à Vegas reste à Vegas’ : la douleur et la barbarie comme ornement touristique dans l’œuvre ‘Calais’ d’Emmanuel Carrère
DOI :
https://doi.org/10.7203/HYBRIDA.9.29388Mots-clés :
frontière, migrants, animalité, tourisme, écritureRésumé
En 2016, Emmanuel Carrère publie Calais: un roman documentaire, qui raconte la transformation opérée dans la ville, suite à l’apparition de la Jungle, le plus grand campement temporaire de migrants en Europe jusqu’alors. Ce travail, héritier du glissement épistémologique effectué dans les sciences humaines, de la catégorie du temps à la catégorie de l’espace, réfléchit à propos du référent spatial que construit le roman, dans une perspective pluridisciplinaire croisant la théorie littéraire et les études culturelles.
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© Maider Tornos 2024
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